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SUBA – OMAR SOSA ET SECKOU KEITA

SUBA – OMAR SOSA ET SECKOU KEITA

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Suba ! L'aube en malinké. Comme un hymne à l'espoir, le 2e album du pianiste cubain Omar Sosa et du joueur de kora sénégalais Seckou Keita nous parle d'amitié et de connexion spirituelle, et bien sûr,

Écrit et enregistré en 2020 pendant le confinement mondial, SUBA (l’aube en malinké) est un hymne à l’espoir, à une nouvelle ère de compassion et de changement réel dans un monde post-pandémique, et une réitération viscérale de l’éternelle prière de l’humanité pour la paix et l’unité mondiale.

L’océan Atlantique sépare Cuba du Sénégal, les lieux de naissance respectifs d’Omar Sosa et de Seckou Keita, une distance amenuisée par leur lien ancestral commun avec l’Afrique. Lorsque les deux hommes se sont rencontrés pour la première fois en 2012, Seckou aimait Omar pour sa spiritualité musicale, tandis qu’Omar voyait en Seckou une capacité rare à collaborer sans perdre son identité.

Omar a sorti plus de 30 albums au cours d’une impressionnante carrière, qui a comporté des nominations pour sept Grammy et Latin Grammy Awards. Seckou est également lauréat de plusieurs prix, le plus récent étant le prestigieux BBC Radio 2 Folk Musician of the Year (2019).

Sur l’album SUBA, Omar et Seckou invitent l’inimitable percussionniste vénézuélien Gustavo Ovalles, qui les accompagne aussi sur scène. Sur le disque, nous retrouvons également Jaques Morelenbaum (violoncelle), Dramane Dembélé (flûte) et Steve Argüelles (sequencing, effets, percussions).

SUBA signifie « l’aube » en malinké, la langue maternelle de Seckou. Le lever du soleil est son moment préféré de la journée, c’est un moment de fraîcheur et d’espoir. « Même si vous êtes confrontés à certaines difficultés, vous remettez votre cerveau à zéro. Vous voyez le lever du soleil comme un nouveau jour, une nouvelle paix, une nouvelle chose, bonne ou mauvaise. Quelque chose d’excitant. C’est le sentiment que j’ai eu lorsque j’écrivais avec Omar. »

Et bien que Seckou appelle la pandémie « une université de haut niveau pour voir le monde d’une manière différente », ce n’est pas à cause du COVID que lui et Omar ont décidé du nom. « C’était SUBA pour beaucoup de choses : la musique, l’art, les êtres humains, la compassion, le changement ».

Comme dit Omar : « Le concept du disque repose sur la paix, l’espoir et l’unité. Dans la période que nous vivons, alors que tout s’écroule petit à petit, la seule chose que nous avons est une connexion divine avec notre voix intérieure, avec notre esprit, notre lumière et nos ancêtres. Nous essayons de donner de l’espoir à travers la musique et de dire aux gens que nous pouvons être ensemble. »

Deux principes fondamentaux ont guidé la conception de l’album : l’approche less is more ou minimalismo comme Omar aime l’appeler et l’importance de la collaboration. « Le projet, c’est l’Afrique, dit Omar, faite à notre façon. Nous présentons nos propres traditions, mais nous nous respectons et nous nous écoutons toujours l’un et l’autre, avec beaucoup d’humilité. Personne n’est le patron. Le patron, c’est la musique. Le patron, c’est le message. »

« La seule chose que l’Afrique peut enseigner au monde, c’est la spiritualité dans chaque chose », dit Omar. « Nous sommes souvent esclaves de notre société folle et humiliante, dans laquelle tout le monde doit avoir du « succès ». »

Les onze titres qui composent SUBA sont liés par des thèmes communs, tissés tout au long de l’enregistrement. Les chansons parlent d’amitié et de connexion spirituelle, de voyage et de perte, d’espoir et d’optimisme, de danse et de mer… et, bien sûr, d’un nouveau lever de soleil.


23-03-2022 de 20:00 à 22:00

  • Plein Tarif : 25 EUR

33 Rue Blomet
75015 Paris
France